La bouquinerie éphémère est à retrouver ici
1965. On connaissait Lemmy Caution, le Gorille, Hubert Bonisseur de la Bath, James Bond, Alec Leamas. Ils étaient américains, français, anglais. Cette année-là surgit dans le monde fermé des espions internationaux et des mythes littéraires un inconnu au nom étrange. Son Altesse Sérénissime le prince Malko Linge, S.A.S. pour ses collègues - de tous les services secrets. "Agent noir" de la Central Intelligence Agency, il possède aux confins de l'Europe de l'Ouest, sur là frontière austro-hongroise, un château en ruine dont il restaure pan à pan la splendeur passée. Solitaire, polyglotte, doué d'une mémoire prodigieuse et d'un charme ambigu, il n'est appelé que pour des missions très spéciales sur les points chauds du globe, Turquie, Iran, Etats-Unis, Amérique latine, Afrique...
A travers ses sept premières aventures, où l'on retrouve le bruit et la fureur des années 60 - Gérard de Villiers fut reporter avant de devenir romancier -, on verra naître un héros qui conquit en un quart de siècle près de 100 millions de lecteurs.
La vie grise et monotone de Wayne cesse quand il débarque à Miami, tombe amoureux de Lisa, une jeune femme au sourire lumineux et désabusé, et découvre, dans la cocaïne, le ressort qui lui a toujours manqué. Quelques semaines plus tard, à la barre d'un grand voilier qu'il vient d'acheter, il part pour les Bahamas en compagnie de Lisa. C'est le début de ce qu'il croit être sa nouvelle vie. Un soir, il découvre, dissimulé derrière la cloison d'une cabine, un étrange journal de bord, un récit, celui d'une croisière, dont le sillage mène à une hallucinante découverte sur le tombant d'un récif : un sous-marin de poche, des noyés, et quatre sacs de toile grise supposés contenir 50 millions de dollars. Il y a plus. Un autre journal, terrifiant, pervers. Une confession. Celle de Shylock, un tueur à la personnalité dédoublée, dont les victimes sont retrouvées étrangement mutilées. Une vague de sang et de terreur est venue troubler le bleu de l'océan. Qui est Shylock ? Carlos Escalante, un Mexicain taciturne et dangereux ; Negru, un peintre surréaliste en vogue, au passé douteux ; Miller, un financier avide et sournois ? Mais Shylock existe-t-il vraiment ? Tandis que Wayne s'enfonce lentement dans le désarroi, pour Lisa c'est le début d'une recherche difficile dans ce qui deviendra, très vite, les dédales d'un labyrinthe où se croisent les ténèbres, l'imposture, et la mort.
"Le coeur de Slim cognait durement dans sa poitrine contractée. Les quelques secondes qui allaient suivre allaient décider de sa réussite ou de son échec. Il remonta instinctivement le masque inhalateur sur son visage, et baissa la tête pour prendre une attitude familière de Vornensky. Le groupe de mécanos, qui discutait bruyamment près de la queue du « Delfin », se tut brusquement à son approche. Vornensky était un dur, un héros, unanimement reconnu et respecté par tous les hommes de la base..."
Je gagnai le quai. Les plus moches wagons que j'aie jamais vus constituaient le train. Sales, avec des vitres cassées, puant le rebut. Vers l'avant, des soldats allemands allaient et venaient. Dans le tas, il y avait un ivrogne, le calot de travers... Soudain, un coup de sifflet retentit. Des portières claquèrent. Les soldats glapirent quelque chose dans leur langue. Le train s'étira en geignant. Il quittait la gare d'Austerlitz. Il ne devait être suivi d'aucun autre. Il était le dernier à sortir de Paris.
Maître du roman policier sarcastique, Fred Kassak occupe une place à part dans la littérature criminelle. Dans ses oeuvres, pas de pitié pour les imbéciles, les gentils comme les méchants. De l'ambitieux qui brigue la place de son patron et projette de le tuer - Carambolages - au jeune étudiant amoureux d'une Suédoise rencontrée au musée Grévin - On n'enterre pas le dimanche -, les héros de Fred Kassak tombent dans des machinations qui les dépassent, même lorsqu'ils en sont les instigateurs. A travers ses romans comme à travers ses pièces radiophoniques, ce lauréat du Grand Prix de littérature policière - en 1958 - nous livre une vision du monde impitoyable, mais d'une drôlerie bien peu égalée...
Jean-François Rivière, détective privé, est un jour contacté par un ami d'enfance, Marc Salvain : ce dernier, directeur d'un important réseau bancaire, a découvert que son fils Xavier se droguait et demande à Rivière d'intervenir au plus vite. Malheureusement, les bêtises du rejeton ne se limitent pas à la consommation de cocaïne. Le jeune Xavier, petit génie de l'informatique, opère d'ingénieux transferts de fonds, sans se douter un seul instant que les sommes qu'il manipule allègrement depuis son ordinateur sont, elles-mêmes, détournées, pour le plus grand profit d'un magnat zurichois aux activités douteuses. Des ruelles de la capitale, aux salons cossus des officines suisses, le privé Jean-François Rivière va devoir démêler plus d'une intrigue, et compter sur plus d'un allié pour éviter les innombrables pièges que lui tendront des hommes de l'ombre, pour qui l'argent n'a pas d'odeur et la vie humaine une valeur toute relative.
J'étais continuellement en proie au désir - vous appellerez ça le désir de tuer - et plus il y en avait, mieux c'était. Oui, si j'en avais eu la possibilité, j'aurais tué des masses de gens. J'aurais engendré des catastrophes. Tous les soirs, j'écumais les rues de la ville à la recherche d'une victime. Mais ce n'était pas si facile que ça d'en trouver une. Lorsque je rentrais à minuit passé, parfois gorgé du sang de mes victimes, je ne faisais jamais de mauvais rêves et mes nuits n'étaient jamais troublées par le manque de sommeil. Je n'ai absolument aucun remords. Après tout, j'étais là pour accomplir ma mission. Ainsi s'exprime Peter Kürten, le vampire de Düsseldorf, dans ses hallucinantes confessions qui sont pour la première fois publiées en France dans leur intégralité. Sadique sexuel, Kürten nous dresse le portrait d'un serial killer. Ce document capital de l'histoire de la criminologie est complété par deux entretiens de l'auteur avec des vampires tueurs modernes, James Riva et Richard Chase.
Un commando spécial, même - ou surtout - à la Police des moeurs, c'est très utile pour régler au mieux et discrètement les affaires très délicates. Mais, lorsque la trêve estivale calme l'actualité, lorsque la grande pègre est en vacances, lorsque les obsédés ne se distraient qu'entre eux, et que la routine a repris ses droits, l'équipe du commissaire Griffon devient inutile et même, aux yeux de certains, plutôt gênante. Démantelé, tenu à l'écart et sur le point d'être dissous, le commando spécial de Griffon va pourtant, contre toute attente, régler à l'arraché le compte d'une équipe de marginaux dévoyés, sordides, maniaques et insaisissables, qui considère le viol, le sadisme et l'assassinat comme un exutoire à leur mal de vivre.
Y a-t-il un meilleur endroit qu'un centre de thalassothérapie pour commettre le crime parfait ? Du matin au soir, c'est l'allée et venue des peignoirs blancs, lesquels défilent, serviette sur la tête, de la piscine aux cabines de soins où les empreintes digitales ne marquent pas. Est-ce cette garantie d'anonymat qui incite l'assassin à noyer ou étrangler un à un les clients du Centre ? La question rend perplexe l'inspecteur Lavialle, chargé de l'enquête, mais amuse Guy Villardin, un curiste don juan, qui se trouve être aussi auteur de polars : une manne pour son futur suspense que tous ces crimes en peignoirs et eau chaude ! Quant au médecin-chef, cette série de meurtres inexplicables le plonge dans le désespoir : va-t-il y perdre tous ses clients ? les uns par mort subite, les autres prenant la fuite ? Mais qui diable peut avoir intérêt à le ruiner ? Il y a plus troublant encore : certains curistes, jusque-là paisibles, succombent à la tentation : Quelle excellente occasion de régler son compte à qui m'importune ! Une mort qu'on mettra sur le compte de l'assassin ! Je n'aurai qu'à m'en laver les mains ! Ce qui, en thalasso, est plus qu'aisé... Hélas pour eux, ces braves gens s'abusent ! Quant à nous, lecteurs, nous pédalons avec angoisse dans la purée d'algues ! Jusqu'à ce que...
Karl lui avait dit : Ça va être une soirée extrêmement érotique. Peut-être ne s'agissait-il finalement que de se taper un type ou deux... ou trois. Peut-être d'une manière un peu compliquée. Ou même d'une manière très compliquée... Mais Édith en avait vu d'autres. Ce qui la rongeait, c'était de ne pas savoir exactement, et de se dire que si on l'avait enfermée là, avec toutes ces précautions, avec ces jours et ces jours de claustration, ça n'était certainement pas pour faire quelque chose d'ordinaire... Lorsque la disparition de la jeune et belle prostituée avait été signalée au commissaire Griffon, celui-ci ne s'était pas inquiété outre mesure : lui aussi en avait vu d'autres. Mais, après Édith, était venu le tour de Frédérique, puis d'Isabelle. Dès lors, le commando spécial de la Police des moeurs était entré dans la danse. Une danse qui n'avait rien de la valse noble, mais plutôt de la java vache. Très vache... Une équipe très spéciale pour cas très spéciaux. C'est le nouveau commando de Police des moeurs, un service autonome capable de mener la vie dure aux criminels du vice, grâce à son action discrète et rapide. À sa tête, un policier peu orthodoxe mais d'une efficacité redoutable, le commissaire principal Pierre Griffon. Sous ses ordres, un jeune inspecteur qui trompe son monde parce qu'il n'a pas la tête de l'emploi, Lionel Savary ; un bricoleur de génie, doté d'une mémoire d'ordinateur, Alex Gribovitch ; et l'inspecteur de charme, Sophie Leclerc, qui manie aussi bien le sourire que le pistolet.
Pour OSS. 117, c'était une affaire très simple au départ. Réceptionner un dissident qui achète son droit d'asile aux U.S.A. contre des documents explosifs. Ce ne devrait être qu'un jeu d'enfant pour OSS. 117. Mais sa mission se terminera dans un immense feu d'artifice, dans lequel quelques dizaines de vies humaines se transformeront en chaleur et lumière.
Dure vie que celle d'inspecteur de la Police des moeurs, à plus forte raison lorsqu'on est membre du commando spécial du commissaire Griffon ! On se couche tard le soir - ou tôt le matin - plus souvent qu'à son tour, on traîne sans cesse ses guêtres dans des lieux où se déroulent, au vu et au su de tout le monde, des actes que la morale est censée réprouver, on abuse - professionnellement ! - des boissons alcoolisées, on fréquente, par obligation, des individus parfaitement dépravés (un bon côté toutefois : ils apportent chaque jour la preuve que, dans le domaine du sexe comme dans d'autres, l'imagination de l'homme - et de la femme ! - ne connaît pas de limites). Bien sûr, il arrive que l'on voit du pays : tous ces inconvénients méritent bien une pétite contrepartie. Mais quelle piètre consolation, vous dira Savary, si votre visite des hauts lieux de New York vous conduit au bout du compte devant la gueule bien noire d'un revolver à silencieux, tenu par une charmante tueuse professionnelle folle de son corps... et du reste !
Quand on découvre que la Thaïlande, et son trop célèbre Triangle d'Or, servent de base à une filière organisée par des Américains, tous anciens de la C.I.A., Washington prend le mors aux dents. Hubert Bonisseur de la Bath, alias OSS 117, est aussitôt envoyé sur place pour y mettre bon ordre. Un sacré choc l'attend à Bangkok...
Un magnifique hall faiblement éclairé par des appliques en argent massif. Des vases contenant des roses et des glaïeuls disposés avec art. Des meubles de style. L'ensemble respirait la fortune. Mais il y régnait un silence angoissant. - Il faudrait peut-être explorer les pièces, suggéra l'homme au monocle. - Ne bougez pas d'ici, je m'en occupe. Les recherches du policier furent de courte durée. Au pied de l'escalier en fer forgé menant au premier étage gisait le cadavre d'une femme, la nuque défoncée.
Il fit un pas sur la plage. Devant lui, la mer se perdait dans des lointains un peu flous, presque brumeux. Ce matin-là, il se sentit enfin profondément heureux. Quelle bonne idée il avait eue de choisir un Eldorador, à Hammamet. Il se rappela ceux d'Agadir et de Cala d'Or à Majorque. La même ambiance joyeuse et bon enfant, la même qualité de vie. Décidément, pour 2 300 francs, Jet Tours avait bien fait les choses. Au même moment, il sentit le sable bouger près de lui. Il tourna son regard et sourit. Ingrid l'avait rejoint.
Aux Bahamas, un mystérieux fugitif organise un massacre en règle dans une crique déserte. Les victimes : des tueurs expédiés par divers services secrets. Puis, il disparaît sans laisser de traces. Chargé de le retrouver à tout prix, OSS 117 voit, dès son arrivée, son bateau lui exploser sous les pieds, et se retrouve en train de nager dans des eaux infestées de requins. Quand il se fait braquer par un faux Canadien et un Hollandais déguisé en Allemand, il comprend qu'il n'est pas au bout de ses peines.
Hubert Bonisseur de la Bath réussit à ramener, lors d'un voyage en Russie, un document prouvant que des plans provenant d'un laboratoire américain ont été transmis aux Russes. Mais les choses se gâtent à son retour en France et ce n'est qu'aux États-Unis, après avoir été la victime d'une tentative d'empoisonnement, qu'OSS 117 réussira à démasquer le coupable.
Surpris par des policiers et par le mari d'une belle Polonaise dans une situation qui ne laisse aucun doute sur leurs relations, Christopher Pike, attaché à l'ambassade des États-Unis à Varsovie, est obligé de blesser l'époux jaloux. Conduit au siège de la police, on lui met le marché en main : jugement sommaire et exécution ou trahison. Christopher Pike choisit de vivre et de trahir. Mais Christopher Pike n'est autre qu'Hubert Bonisseur de la Bath chargé précisément de démasquer un traître à l'ambassade américaine. Il va avoir fort à faire pour ne pas éveiller les soupçons d'Anthon, le chef de la police polonaise qui croit le manipuler.
Une jeune fille nue, traquée à travers bois au cours d'une étrange chasse, violée puis étranglée par un maniaque sexuel. Une call-girl, assassinée dans des conditions horribles. Une clinique, où prennent pension des malades hors-série... C'est dans une enquête extraordinaire que vont se lancer le commissaire Griffon et son commando spécial de la police des moeurs. Une enquête où, face à des intérêts puissants, ils n'auront bientôt d'autre ressource que de prendre le maquis ! N'en doutons pas, ça va chauffer... Une équipe très spéciale pour cas très spéciaux. C'est le nouveau commando de Police des moeurs, un service autonome capable de mener la vie dure aux criminels du vice, grâce à son action discrète et rapide. À sa tête, un policier peu orthodoxe mais d'une efficacité redoutable, le commissaire principal Pierre Griffon. Sous ses ordres, un jeune inspecteur qui trompe son monde parce qu'il n'a pas la tête de l'emploi, Lionel Savary ; un bricoleur de génie, doté d'une mémoire d'ordinateur, Alex Gribovitch ; et l'inspecteur de charme, Sophie Leclerc, qui manie aussi bien le sourire que le pistolet.
Lorsque la nouvelle tomba, le monde entier fut consterné. En cette calme nuit de Noël, un avion de ligne venait d'être piraté. Était-ce un hasard si OSS 117, alias Hubert Bonisseur de la Bath, se trouvait parmi les passagers ? Le sort même de l'avion de Noël est entre ses mains. Tout comme l'est celui de cette merveilleuse et célèbre actrice, nommée Providence, et à qui ce nom va si bien.
Cette supplique, cette photo d'une frimousse de gosse souriant à la vie, jamais la même, imprimée à des millions d'exemplaires sur des prospectus jetés dans les boîtes aux lettres, témoignent de la recrudescence des kidnappings d'enfants aux U.S.A. Les polices fédérale et locale, les détectives font ce qu'ils peuvent pour récupérer d'innocentes victimes, dont on sait que beaucoup sont livrées à des dépravés sexuels, amateurs de chair fraîche et jeune. Très jeune. En France, on ignore l'étendue de cet odieux trafic. Mais à Los Angeles, quand Élisabeth Tucson fit appel à mes services pour tenter de retrouver Patricia, sa fillette de dix ans disparue dans des conditions mystérieuses, je n'hésitai pas une seconde. On a beau avoir remisé sa panoplie de flic au placard, l'instinct de la chasse demeure...
Terminus : La Jolla. Une bien jolie plage californienne, bordée de palmiers et de propriétés luxueuses. Au volant de sa Porsche, Dominique Giraldi chantonne. C'est son dernier voyage. Les trente kilos d'héroïne sont à l'abri dans le coffre et Khoury, le distributeur de l'Organisation pour la Côte Ouest des États-Unis, paiera cash, comme d'habitude. La prime qui lui a été promise permettra au Frenchie, ainsi que l'appellent les correspondants américains de l'Organisation, de se retirer au Brésil auprès d'Isabel, la jeune femme qu'il vient d'épouser. Un rêve. La réalité sera tout autre. Ce soir, Isabel attendra en vain le retour du Frenchie à l'aéroport de Rio... Après La filière et La cible, Roger Borniche nous fait à nouveau pénétrer dans les obscurs labyrinthes du trafic de la drogue. Basée sur des faits réels, l'histoire du Frenchie est celle d'un couple, plongé au coeur de l'une des enquêtes les plus méconnues de ces dernières années, qui vit s'affrontrer des trafiquants de blanche d'origine franco-libanaise et de rose extrême-orientale, malgré les efforts désordonnés et parfois contradictoires des services de police, de la DEA et du FBI.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
On peut s'appeler Lionel Savary, être voltigeur de pointe de l'équipe Griffon, et accepter l'invitation d'un Américain dont on a sauvé la vie. On peut aussi débarquer dans la Vallée de Silice, en plein règlement de comptes entre gangsters, croiser un criminel aux déviations hors nature, et tomber sur un important renseignement que l'on s'empresse de transmettre à son patron. Et tandis qu'à Paris, entre un ancien escroc et ses maîtresses, Gribovitch, Sophie Leclerc, et le commissaire lui-même, remontent la filière d'un mystérieux trafic, on peut se laisser, sous le ciel californien, glisser de bras en bras, de motels en piscines, pour se retrouver entraîné à jouer avec le feu par une créature aux longs cheveux blonds, sensuelle, autoritaire, perverse, comédienne, provocante, intéressée et cynique. Une ronde diabolique dans un inconnu d'horreur feutrée, de trahison, de stupre et de meurtres.